Les expositions universelles illuminent le monde depuis la fin du 19e siècle. Ces grandes manifestations commerciales et culturelles sont devenues au fil du temps un haut lieu de la muséographie.
A la pointe de la muséographie
Miroir des progrès techniques et technologiques au 19ème, les expositions universelles s'emploient aujourd'hui à passer un message, le plus souvent par le biais d'innovations. Les pavillons, construits par les pays participants, se veulent refléter l'image que le pays souhaite montrer de lui au reste du monde, visiteurs et participants. Et le mot clé est le rayonnement. Pour cela, les pays se donnent les moyens d'impressionner les visiteurs.
Ainsi, lors de la dernière exposition Universelle à Milan (2015), la Boite à Histoire a pu découvrir toute l'évolution technique qui concerne l'imagerie et a diffusion numérique, bien au delà des casques 3D immersifs. La "tablette en carton" présentée par le pavillon Allemand était par exemple bluffante, tout comme la robotique présentée par le pavillon coréen.
Au service d'un message
En 2015, à Milan, le thème de l'exposition était "nourrir la planète". L'ensemble des pays participants se devaient donc de présenter au monde leur vision de la question de l'alimentation mondiale. De l'artisanat français à la gestion des ressources limitées par la Suisse, en passant par les solutions coréennes puisées dans leur technique ancestrale de maturation des aliments, toutes les visions futures qui pourraient permettre d'envisager une alimentation pour l'ensemble de la planète étaient présentées.
Dubaï : prochaine exposition universelle
En 2020, l'exposition "Connecting Minds, Creating the Future" est reportée pour cause de COVID à octobre 2021. La Boite à Histoires a prévu de s'y rendre, comme elle participé professionnellement aux précédentes éditions : Milan (Italie) 2015, Shanghai (Chine) 2010, Aichi-Tokyo (Japon) 2005, et Hanovre (Allemagne) 2000.
Un rendez-vous que La Boite à Histoires partagera sur ses réseaux. A suivre ...